- IL ÉTAIT UNE FOIS
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Ce n'est pas sans haine que
je t'avoue ma peine,
Depuis trop longtemps étouffée,
tu la libères,
Par mes confidences, tu lui ôtes
ses chaînes,
Mes larmes me surgissent, dès
lors plus prisonnières.
Ni je, ni tu, mais il était une
fois NOUS.
Enfin comprise, je me laisse
apprivoiser,
Sur ton épaule, la clef de ma
forteresse,
Mes sanglots, en ce refuge, sont
apaisés,
En échange de mon amicale
tendresse.
Ni je, ni tu, mais il était une
fois NOUS.
Ce n'est pas sans douleur que je
t'avoue ma peur,
De te perdre, toi, ta confiance,
ton soutien,
Parfois frère, souvent père,
guide, âme soeur,
De mon bonheur, notre alliance
assure le lien.
Ni je, ni tu, mais il était une
fois NOUS.
Tu m'aides dans ma quête de la
vérité,
A tes côtés, je m'épanouie dans
ma foi,
En harmonie avec ma
personnalité,
Endurante, croyante, insouciante
à la fois.
Ni je, ni tu, mais il était une
fois NOUS.
- - Florence -
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